"Je me suis levée, Anne aussi.
- Qu'est-ce que vous diriez de rester dîner mesdames ? On pourrait se faire livrer des enchiladas et des margaritas ?
- C'est très aimable à vous, ai-je répondu, mais je suis là pour mon travail, pas pour faire des mondanités.
- Vous savez où me trouver.
Cyr nous a raccompagnées dans l'entrée.
- Qu'est-ce que tu voudrais qu'il fasse ? a repris Anne.
J'ai réfléchis un moment.
- Qu'il fouille le quartier."
J'arrête ma lecture.
Kathy Reichs n'est certes pas l'écrivain du siècle et nombre de ses tics d'écritures m'agacent au plus haut point, mais là quand même, il y a un truc que je ne comprends pas.
Je relis tous le passage et ne comprends toujours pas ce que la réplique d'Anne vient faire ici.
Je relis encore.
Non, vraiment, ça n'a rien à voir.
Je regarde les numéros de page.
"Cyr nous a raccompagnées dans l'entrée" est tout en bas de la page 160.
La réplique d'Anne est en haut de la page... 129 !!!!!
Je feuillette rapidement la suite, espérant qu'il s'agit juste d'une insertion malvenue de quelques feuillets, mais non : les pages 129 à 160 sont tout simplement doublées... et après la deuxième page 160, cela continue à la page... 193 !!!
Il est 23h30, le suspens est à son comble et je suis planté là !
J'essaie malgré tout de continuer à partir de la page 193, mais j'arrête au bout de quelques lignes car c'est quand même frustrant.
Je n'ai évidemment pas gardé le ticket de caisse....
Bah, après tout ce n'est qu'un livre de poche, donc je le racheterais.
Même si ça me rend (un peu) triste de savoir que les 160 première pages de mon second exemplaire ne seront jamis lues... et que les 246 dernières pages de mon premiers exemplaires ne seront jamais lues non plus....
Merci Pocket !
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