21.8.06

Prima Donna

J'ai passé mon week-end sur You Tube à rechercher fièvreusement toutes traces visuelles des Gruberova, Kasarova et autres Florez....
Mais j'ai aussi trouvé ça :

18.8.06

Mes Divas

Allez hop, gràce à YOUTUBE je me suis fait moi aussi mon petit blog parallèle, avant tout pour mon plaisir personnel à moi... mais c'est une passion que j'aime partager avec toutes celles et ceux qui comptent...

Générique Nostalgique


Je l'ai eu dans la tête toute la journée.....

11.8.06

Vaisseau Fantôme

"Selon une légende maritime du XVIIème siècle, Le Hollandais Volant est un navire marchand, commandé par le capitaine Hendrick Van Der Decken. Alors qu’il s’apprête à passer le cap de Bonne Espérance, il est pris dans une violente tempête. L’équipage supplie le capitaine de faire demi-tour pour chercher un abri près des côtes, mais ce dernier refuse et s’entête. Il va jusqu’à déclarer qu’il naviguera jusqu’au jugement dernier mais qu’il passera le cap. Pour prix de ce blasphème, il est condamné, par Dieu ou Diable, à errer sur les mers sans jamais trouver de port où accoster, et ce jusqu’à la fin des temps.
Le romantisme allemand, dans les années 1820, reprendra cette légende en y ajoutant le développement suivant : le capitaine est condamné à errer pour l’éternité mais il peut revenir tous les 7 ans sur terre, une journée durant. Il sera délivré de sa malédiction s’il trouve une femme qu’il aime jusqu’à sa mort.
"
Alors, dans ces conditions d'où il sort ce Davy Jones dans Pirates des Caraïbes 3 avec sa tête de poulpe et son coeur enfermé dans un coffre et son histoire d'une fois tous les 10 ans ? Hein ?
En capitaine maudit esseulé la mèche au vent sur le pont de son navire, James Mason dans Pandora, c'était quand même autre chose, non ?

8.8.06

Outrage !

Lu aujourd'hui sur Forum Opera dans la critique d'un DVD de Rigoletto :

"Avec sa longue perruque blond platine et sa robe de mousseline blanche, la soprano colorature Edita Gruberova fait d’autant plus penser à une grosse chatte angora qu’elle miaule plus qu’elle ne chante. Elle ne touche guère tant elle est agaçante avec ses minauderies et le crescendo émotionnel de l’œuvre s’en trouve hélas bien appauvri."




Pfff !
Et en plus, pour avoir vu l'oeuvre, je dois bien reconnaître qu'elle est ridicule dans ce film ma diva préférée... mais de là à le dire ainsi....

4.8.06

12 minutes de bonheur intense

Jeudi 2 Août, minuit, La Motte Piquet Grenelle.
Je monte dans la voiture, je mets le contact.
La musique s'élève dans l'habitacle.
C'est le Memorial de Michael Nyman.
Sublime et pompière paraphrase purcellienne.
Je monte le son.
Je démarre.
Je vais traverser Paris.
Rouler dans Paris la nuit : un plaisir sans pareil.
Je passe entre l'Ecole Militaire et la Tour Eiffel.
Je passe entre le Pont Alexandre III et le Dôme des Invalides.
Je passe devant le Palais Bourbon et tourne vers La Concorde.
Là, du pont, l'un des plus beaux points de vue que je connaisse.
L'Obelisque, les fontaines, les réverbères, le Crillon.
Avec, au fond, La Madeleine vers laquelle je me dirige.
Boulevard des Capucines, L'Olympia néone tout rouge.
Quand j'arrive Place de L'Opera, la voix de l'ange s'élève.
Comme à chaque fois, je m'incline devant les splendeurs du Palais Garnier.
Ensuite, long ruban de lumières multicolores, la rue Lafayette.
Je la remonte jusqu'à la Rotonde de la place Stalingrad.
Puis, le XIXème.
La mairie.
Je contourne les sombres Buttes Chaumont.
Place des Fêtes.
Ivre de sons et de lumières, je me gare.
La musique s'arrête.
Dans deux minutes, son sourire.